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Telling About Southern Fluctuations: Elizabeth Spencer at the Back DoorDOI: 10.4000/erea.1803 Keywords: representation , The South , memory , interracial relationships , représentation , Le Sud , mémoire , relations interraciales Abstract: Le troisième roman d’Elizabeth Spencer, The Voice at the Back Door (1956), appartient à son cycle du Mississippi. Il traite des relations raciales et de la violence sudiste, deux thèmes qui n’avaient pas bonne presse à cette époque puisque le mouvement pour les droits civiques débutait. Le roman rappelle L’intrus (1948) de Faulkner en ce qu’il met en scène la recherche du coupable du meurtre d’un homme blanc. Cet article analyse la fa on dont Spencer dépeint les manières du Sud en s’interrogeant sur les relations raciales. Le roman est également lu dans le contexte de sa publication puisque Spencer fut per ue comme une tra tresse par les Sudistes. Spencer utilise des sujets impopulaires pour révéler le paradoxe au c ur de la manière de vivre sudiste et montre combien le passé se rejoue constamment dans le présent. Elizabeth Spencer’s third novel, The Voice at the Back Door (1956), is part of her Mississippi cycle. It deals with race relations and southern violence, two highly controversial issues at the time since the Civil Rights Movements were beginning. The novel, reminiscent of William Faulkner’s Intruder in the Dust (1948), stages the search for a culprit after the murder of a white man. This paper focuses on Spencer’s portrait of southern manners and interracial relationships and analyzes the novel in the context of its publication. It will show that Spencer uses unpopular topics to expose the paradox at the core of the southern way of life and show that the past is constantly reenacted in the present.
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